Franca Sidler

16/01/2024

Chez Solinum, Franca alimente une plateforme digitale pour rendre les structures de solidarité plus accessibles !

Arrivée à Cobalt en septembre 2023, Franca a gentiment accepté de répondre à nos questions ! 😁

 

Pitch ton métier en deux phrases !

Je suis coordinatrice locale chez Solinum. Ma mission, c’est de répertorier les structures de la solidarité de la Vienne sur notre Soliguide.

 

Peux-tu nous présenter Solinum ? 

Solinum, c’est une association à vocation à avoir un impact social positif. L’outil phare de l’association, c’est le soliguide ; il s’adresse aux personnes en situation de précarité, aux bénévoles, et aux professionnel.le.s du social. L’objectif, c’est de trouver et de lister les structures qui peuvent répondre à divers besoins que ces personnes peuvent rencontrer.

Selon les territoires, les priorités du Soliguide peuvent varier. Dans la Vienne, les catégories prioritaires sont les aides alimentaires (et tout ce qui concerne l’alimentation au global), les urgences sociales, et l’accueil de personnes de différents horizons. En tout, on peut y retrouver jusqu’à 12 catégories allant de l’alimentation à l’hébergement d’urgence, en passant par des conseils juridiques, ou de la santé.

Dans la Vienne, on est encore au tout début de notre développement. À Bordeaux par contre, nous sommes présents depuis beaucoup plus longtemps, donc on peut retrouver beaucoup d’associations adhérentes, qu’elles soient grandes, toutes petites ou très spécifiques, c’est vraiment génial !

 

Le pôle Vienne s’est ouvert à ton arrivée ?

Il a été ouvert un peu avant mon arrivée, avec une coordinatrice que j’ai remplacée par la suite ! En France, nous sommes présents sur 33 départements.

 

Qu’est-ce que tu kiffes le plus dans ton job ? 

Rencontrer les structures !

Sinon, c’est l’idée d’avoir un outil pratique qui répond aux besoins des personnes qui se trouvent en difficulté. On ne leur met pas juste une liste d’associations pouvant les aider à disposition. On les aide vraiment à engager les démarches pour qu’ils puissent se faire aider...

 

Le job le plus improbable que tu aies fait ?

J’ai été peintre en bâtiment pendant à peu près 3 semaines et j’ai essayé l’ostréiculture en tant que saisonnière ! *rires*

 

Quel est le plus gros défi que tu aies pu relever professionnellement ? 

J’ai travaillé dans un hébergement pour demandeurs d’asiles, c’était vraiment un gros défi. Mentalement, c’était très lourd, on y ressentait vraiment la misère sociale, c’était dur. Par contre, j’ai rencontré plein de personnes très chouettes, et c’était très enrichissant !

 

À propos du coworking : 


L’endroit le plus improbable dans lequel tu as travaillé ? 

Ici ! *rires* Sinon, j’ai travaillé dans le bar d’un sauna en Allemagne… Et, oui, la plupart des gens y étaient pratiquement nus ! 

 

L’endroit idéal pour travailler ?

Dehors sous le soleil !

 

Comment as-tu connu Cobalt ? 

C’est mon employeur qui a trouvé ! Mais on m’avait déjà parlé du lieu auparavant.

 

Définis Cobalt en 3 mots ! 

Convivial, chaleureux (mais pas pour la température *rires*), et je dirais cosmopolite ou multi horizons !

 

Et enfin, quelques questions sur toi !

 

Quel type de médias consommes-tu pour t’informer ?

Comme je viens d’Allemagne, j’écoute très souvent une radio allemande qui s’appelle Deutschlandfunk kultur.

C’est une radio que l’on pourrait un peu assimiler à France Inter ou France Culture, mais en plus large culturellement. Il y a davantage de musique et une culture plus large, plus pop ! Évidemment, ils passent également des musiques un peu plus classiques, mais aussi des infos, que ce soit de l’actualité mondiale ou de la politique. 

 

As-tu une recommandation culturelle à nous faire ? 

Le documentaire “Ni juge, ni soumise” ! C’est un documentaire sur une juge de Bruxelles, qui a été suivie par une équipe de production pendant 3 ans, sur toutes les affaires sur lesquelles elle a dû travailler… 

Je me souviens que la bande annonce m’avait complètement scotchée, et le documentaire était vraiment à la hauteur.

 

Un talent caché, et un talent que tu n’as pas du tout ? 

Le talent dont je rêve, ce serait de savoir danser le flamenco !

Pour le talent caché, je fais de très bon mojitos ! *rires* Sinon, je ne sais pas trop… Je fais de la danse, du jazz moderne !

 

Enfin, complète la phrase, “pour ma défense, je…”

J’étais en retard ! *rires*

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