14/02/2023

Rencontre avec Larry Harari, l’homme qui vous permet d’acquérir des connaissances de façon agréable et ludique !

On vous présentait le mois dernier Noweur, une start-up accompagnée par le SPN, on vous présente donc maintenant un de ses fondateurs, Larry Harrari, également coworker à Cobalt !

Fiche d'identité :

Larry Harari, 24 ans, co-fondateur de Noweur & coworker à Cobalt depuis juin 2022.

Larry, peux-tu nous présenter rapidement ton parcours ?

Après avoir vécu en France et en Belgique, je suis arrivé pour des études à Poitiers en 2016 pour faire une licence en Administration Économique et Sociale (AES) à l’Université. J’ai ensuite enchaîné sur une licence en administration publique, et en parallèle j’ai commencé un diplôme d’étudiant entrepreneur à Pépite. 

C’est là que j’ai découvert Cobalt, un peu avant le début de la crise du covid. J’ai été accompagné par la BGE (structure présente à Cobalt), en continuant mon diplôme d’étudiant entrepreneur pendant 1 an. J’ai ensuite fondé Noweur en 2022, en parallèle de mes études en Master de Sociologie.

Finalement, AES ne te plaisait pas ?

Si, mais le master a été supprimé il y a 3 ans ! *rires* Beaucoup de masters sont passés à Bordeaux, il y en a de moins en moins à Poitiers…

Et comme je voulais créer ma propre entreprise, une licence en administration publique permettait de continuer à étudier tout en avançant sur mon entreprise, j’ai pu découvrir comment tout cela fonctionnait.

Et j’ai donc fait un master en sociologie à partir de 2021. J’avais candidaté dans plusieurs filières, c’était mon second choix, et c’est une filière qui ne demande pas trop d’implication intellectuelle et qui permet donc de travailler sur d’autres projets à côté. J’avais aussi des facilités donc je savais que j’aurais beaucoup de temps libre, pas trop de pression… Contrairement à une licence en droit par exemple, ou il y a plus de travaux et d’examens.

Parlons du coworking !

As-tu déjà fait du coworking avant ?

Non, c’est la première fois.

Qu’est ce que tu préfères à Cobalt ?

À Cobalt, l’atmosphère est vraiment bonne, les gens sont sympas. Il y a l’encadrement du SPN, et on parle facilement avec les autres coworkers. J’apprécie le côté très familial…

Qu’est ce que tu préfères à Cobalt ? Selon toi, quelle est la différence entre un bon et un mauvais coworker ?

Pour moi, c’est le respect du lieu, du “territoire”. Essayer de ne pas être une nuisance auditive pour les autres, tout en étant ouvert à une potentielle conversation. On ne doit pas penser être tout seul dans le bâtiment. Et je pense qu’il faut aussi être assez flexible sur sa zone de bureau, accepter qu’on puisse changer de salle en fonction de ce qui se passe dans le lieu !

Dis nous en plus sur toi !

As-tu une anecdote marquante de ton parcours à nous raconter ? As-tu des passions, ou des hobbies ?

À titre personnel, je suis passionné d’arts visuels, notamment le cinéma et la peinture.

J’aime beaucoup la culture, la transmission de savoirs, ou de connaissances via des créations esthétiques. J’aime aussi beaucoup apprendre, je dirais que l’histoire, la géographie et l’économie sont les sujets qui m’intéressent le plus, mais j’aime aussi la psychologie et les relations humaines. Pour moi, mêler l’art et la culture, c’est magnifique. 

J’aime également beaucoup la lecture et le dessin. Je ne lis pas de fictions, mais plutôt des œuvres issues de différents mouvements de pensée, la renaissance italienne, le machiavel, les médicis, les auteurs des lumières, notamment Rousseau. En ce moment, je lis un livre qui s’appelle “La comédie inhumaine” de Julia De Funès, la petite-fille du célèbre acteur, qui est une philosophe française. 

Je suis aussi très curieux des autres cultures, j’adore voyager, apprendre de nouvelles langues…

Quel voyage t’as le plus marqué ?

J’ai appris l’espagnol au Mexique ! La culture latino-américaine a été une très belle découverte. Sinon, j’ai beaucoup aimé l’Italie pour la culture, mais moins pour les gens, qui sont très sectaires… J’ai aussi vécu en Belgique, j’y ai notamment appris le néerlandais, je connais donc très bien le Benelux, et également l’Allemagne. Mais je n’aimerais pas y vivre ! *rires*

Quel genre de musique écoutes-tu ?

J’écoute un peu de tout, du rap, quelques musiques classiques… voilà. Si je devais citer un morceau de classique, ce serait “La Marche Turque” de Mozart, et pour le rap, n’importe quel morceau de 50 Cent !

Un film préféré ?

Plusieurs ! *rires*

Pour la réalisation audiovisuelle, je dirais “La Grande Belezza” un film italien de Paolo Sorrentino.

Pour me motiver, je dirais Gladiator ! 

Et pour le côté français et historique, je dirais la série “Nicolas Le Floch”, qui parle d’un policier du 18e, inspirée d’un livre du même nom.

Si tu étais un animal, tu serais lequel ?

*Réfléchit*

Un dauphin, pour 3 choses. Ils communiquent entre eux de façon très intéressante. Ce sont des animaux sympathiques et généralement, les gens ont de la curiosité pour eux ! Et enfin, il est aérodynamique ! *rires* Je les trouve fascinants et il faut les protéger… Mais bon, récemment, j’ai appris qu’ils se maltraitent pas mal entre eux, donc j’hésite *rires*

Quels sont tes objectifs d’avenir ?

Professionnellement, ce serait de faire en sorte que Noweur soit disponible dans toutes les universités de France, de Belgique et de Suisse d’ici 3 ans ! Ce serait vraiment génial. Ensuite, ce serait de le rendre disponible pour le grand public dès 2024, pour ceux qui veulent se cultiver en ligne grâce aux vidéos et aux podcasts audios. Sur un autre aspect, ce serait d’avoir une équipe stable dans le temps, et d’être entouré de gens passionnés et engagés, qui se sentiraient reconnus dans leur travail.

D’un point de vue personnel, ce serait de pouvoir m’épanouir dans ma vie grâce à Noweur, m’installer de façon stable dans une région, et pouvoir voyager de façon illimitée. J’ai aussi très envie de m’acheter une Aston Martin ! *rires* 

Et d’ici 5 à 10 ans, j’aimerais pouvoir continuer à diriger l’entreprise, en lâchant du lest, déléguer à d’autres personnes, et avoir plus de temps pour ma famille.

Pour finir, complète la phrase « pour ma défense, je… »

J’ai créé une startup à Poitiers ! Ça peut impressionner beaucoup de gens ! *rires*

Propos recueillis par Marius Besson, apprenti en communication à Cobalt.