Sylvain Pourret – 33 ans, ingénieur mécanique. Coworker à Cobalt depuis début octobre.
J’ai eu un premier emploi dans la société Soream, qui fait de l’ingénierie d’étude pour Airbus Hélicoptère et PSA à Marignane. Nous travaillions avec les bureaux d’études d’ingénierie au département innovation, sur le développement de nouveaux produits. J’y suis resté 5 ans.
Ensuite, en 2015, j’ai rejoint l’entreprise Arkadia, où je suis toujours aujourd’hui. Au départ nous avons monté un bureau d’étude à 2 ou 3 personnes et maintenant nous sommes une vingtaine ! Nous faisons de la conception mécanique, de la conception de procédés et nous sommes beaucoup tournés vers le nucléaire.
Arkadia est une jeune PME qui est séparée en différentes filiales, avec chacune son corps de métier. C’est une entreprise qui emploie beaucoup de jeunes, la moyenne d’âge doit être autour de 30 ans ! C’est très convivial, on évite d’avoir une barrière hiérarchique entre la direction et les employés, on fait souvent des séminaires, la direction incite les chefs d’agence d’organiser des afterworks, tout le monde s’appelle par son prénom… C’est ce que j’apprécie beaucoup dans cette PME. Car quand on travaille pour des grands groupes comme Airbus, on est noyé dans la masse, on a parfois l’impression d’être un numéro parmi tant d’autres, à Arkadia c’est tout l’inverse. En plus, étant donné que j’y suis depuis longtemps, il y a une grande confiance avec la direction.
Pause café le matin bien-sûr ! (Rires…)
Plus sérieusement, je commence par l’ouverture de mes mails, ensuite je travaille sur le projet du jour, qui peut changer d’un jour ou l’autre car j’ai plusieurs projets en parallèle. Je peux faire de la réflexion/conception mécanique, ou bien tout ce qui est administratif (comptes rendus de réunions, lecture de documents etc…). Dans mon travail il n’y a pas de journée type ni de projet type, c’est ça qui est bien !
Ce que j’ai le plus aimé c’est ce que je faisais chez Soream, pour Airbus Hélicoptère au département innovation, car on faisait de la recherche avec dépôt de brevet à la fin. Je trouve que c’est très valorisant de créer ce qui n’existe pas encore. C’est ce sur quoi je me suis le plus éclaté !
J’ai toujours travaillé en open space mais au sein des entreprises dans lesquelles je travaillais, jamais en coworking.
J’apprécie la mixité des sociétés et des personnalités présentes à Cobalt. Nous sommes tous de milieux différents, les échanges sont variés lors des pauses café. L’avantage c’est le lien social, c’est ce que j’espérais trouver en venant ici et c’est réussi !
Le bon coworker c’est celui qui respecte les autres, le mauvais ne se préoccupe pas de l’environnement dans lequel il est.
Pas trop, le peu de fois ou j’ai la musique c’est dans la voiture. Je ne suis pas très musique.
Oui, je fais du vélo de route, du squash, du wakeboard, des sports d’hiver…
Je dirais Le Seigneur des anneaux. Je suis plus fantastique ou films avec effets spéciaux.
Les gadgets pour faciliter la cuisine, je trouve qu’il y en a beaucoup qui sont inutiles !
Être épanoui dans ma vie perso et que ce soit compatible avec ma vie pro, car aujourd’hui je vie ma vie pro comme une passion.
“Pour ma défense, je g33k !”
Propos recueillis par Sarah Lopes, chargée de mission à Cobalt.
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